Ah, vous voulez de la critique cinéphile ??
Eh, bien, je m’y colle, vu que c’est moi qui ai le moins de vie sociale.
Néanmoins, permettez que j’aborde la critique de film de biais, en écrivant avec une craie sur le tableau noir de vos écrans, une main dans la poche de mon pantalon en velours, relevant un pan de ma veste en tweed, tel Keating (RW) dans le cercle des pouets:
« Ce qui nous définit, c’est la somme de nos choix » Bon, en substance, hein.
En gros, ça donne :
1- vu que le cours des événements nous échappe
2- nous subissons une météo (allégorique) aléatoire (Nan, pas toi, L)
3 - ce qui nous distingue les uns des autres, c’est l’attitude que l’on prend et donc
4 - la somme de nos choix trace la silhouette de ce que nous sommes dans la tempête de la vie. (Vive R….z et à bas la Guadeloupe :p…)
CQFD. Merci Woody.
Oui, je suis en plein stage « Maitrisez l'humour british, philosophie comprise».
Me fais une petite rétrospective Woody Allen.
Et ma grande leçon de vie au-dessus, là, est tirée du film « crimes et délits » (tout comme la réplique « la dernière femme que j’ai pénétré, c’est la Statue de la Liberté »…) qui préfigure l’actuel « Match Point ».
Sauf que « C&D » est plus moraliste, plus didactique, moins fataliste, et que ça me rassure.
Sinon, moi, on peut me refiler les invendus, parce que j’aime beaucoup « le sortilège du scorpion de Jade » qui passe pour un sous-produit de WA (oui, c’est la saison des initiales, on ne s’en sortira pas), ainsi que les hommes « unattractives »… comme … un anglais, roux, avec une barbe et des lunettes.
Y a-t-il un anglo-saxon dans notre lectorat clandestin ?
Hum ?
"I sound my barbaric "YAWP!" over the
rooftops of the world."
(C'est après l'avoir souligné, que je balance la craie dans la classe.
Félicitations à celles qui ont suivi)