J'ai entendu ci et là (par des gens dont je tairais le nom pour ne pas dénoncer ma chérie à moi que j'ai) que je n'intervenais que trop rarement sur ce blaugue.
J'avoue être outré par ce procès d'intention, dans la mesure ou je n'interviens pas "rarement", mais pas "du tout". Non mais.
Bon, les choses étant rentrées dans l'ordre je m'en vais vous narrer la suite de nos aventures Rodéziennes.
Aventures avec un grand A, croyez-le bien ! Au petit matin, alors que nous avions réussi sans trop de difficulté à nous endormir, il fallu se rendre à l'évidence : nous aurions beaucoup de mal à tenir nos engagements pris la veille !
Et pourtant nous étions enthousiastes à l'idée de nous lever à l'aube pour aller voir "le" grand restaurateur du coin, pour ensuite déambuler dans le marché du-bout-de-la-rue en regardant le soleil se lever.
Bon, midi moins le 1/4 relativisa nos ambitions... pile-poil l'heure d'aller acheter quelques pommes, quelques poires, et en guise de scoubidou quelques galettes au nom et au goût étrange.
Mais pas mauvais. Après tout une galette à l'huile pour le petit déjeuner c'est sympa.
Sisi c'est sympa !
Et ça nous a permis de tenir jusqu'au goûter. Dans un splendide salon de thé dans lequel -vous allez rire- on boit du thé.
Et si je tiens à préciser ce fait c'est parce qu'il faut bien avouer que le thé n'a pas été la principale attraction de la carte que la dame nous a tendue avec appréhension.
Oui parce qu'on fait du bruit il faut croire :-)
Bref c'est effectivement avec du thé que nous avons réussi à faire passer des crèpes, des crumbles, et des tartes au fromage de fort bon aloi. Burp.
A cet instant de la journée je dois vous confesser être tombé dans un trou noir que les mâles connaissent plus familièrement sous l'appellation "shopping sauvage"... qui n'a heureusement duré qu'une petite 15aine d'heure. Ouf.
Juste le temps de nous préparer pour un frugal repas dans un restaurant dont le patron a dû fréquenter quelques Réunionais. Pour les quantités du moins...
Un Aligot saucisse plus loin nous étions donc en forme pour une Rodez-Night-Party d'anthologie.
Quel endroit saurait nous accueillir ? Quel estaminet saurait nous offrir les meilleures boissons du cru ?
Curieusement le choix que vous imaginez cornélien fut plus simple que prévu. Devait-on tourner à gauche ou à droite ? Aller au troquet numéro 1 ou au troquet numéro 2 ?
Et pourquoi pas les deux ? Certes, mais c'était sans compter sur le retour d'Aligot qui décida à notre place ! Le cuistre !
Heureusement le dimanche fut salvateur, un dimanche plein de magie et de finesse... mais un dimanche qu'une autre vous racontera, le temps qui m'était imparti est hélas dépassé.
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8 commentaires:
moi, je joue à un jeu qui n'a rien à voir: je compte les fois où j'entends, je lis, l'expression "dans la mesure où".
Eh bien Pascal, tu es mon 5° de la journée. Et c'est une petite journée.
Sinon, je conçois que d'intervenir sur un blog intitulé "les filles " te chiffonne au niveau de ta virilité, mais que veux-tu, c'est notre administrateur qui a choisit le nom! ;o)
qu'est ce que tu contes biennnnnn !!! j'ai la bouche ouverte et attend la suite... tu devrais intervenir plus souvent !!!
hey t'as oublié de nommer explicitement les galettes à l'huile, à l'ail et à la persillade (avec un peu d'oeuf et de farine pour tenir le tout): le "Farçou"! rien que le nom j'en ai l'eau à la bouche... à 10h13, c'est pavlovien peut être?
Soyons précis: entre le farçou et le gâteau, il y eu une amorce de promenade au bord de l'eau, que nous avons estimé suffisante dès lors que nous vîmes l'eau miroiter au bas de la pente vertigineuse que nous n'avions descendu qu'au dixième. (dixième devenu énorme à la remontée, on s'en doute)
(apparemment mon ordi souhaite envoyer mes comments en quadruple exemplaires, désolée pour l'encombrement ci dessus)
bref Emmanivelle, tu causes tu causes mais tu relates pas des masse, alléééé quoi faisnous un dessin avec ginette la palette magique pour faire le dimanche! (ceci est un défi)
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